HOT || Moi en couple ? qui l'eut cru ? | Pv Calisto

Elle lui donna la permission. Il avait préféré demandé. L'absence de paroles ne voulait pas dire oui pour autant et il avait donc préféré s'assurer qu'elle se sentait prête, surtout pour leur première fois.
Calisto se recula alors d'elle, le temps d'enfiler le préservatif. Il se remit ensuite sur elle et commença à la pénétrer doucement, pour ne pas lui faire mal. Il l'embrassa alors de nouveau sur les lèvres tout en commençant des va et vient avec son bassin.
Si elle voulait arrêter, ou qu'il lui faisait mal il lui suffisait de le dire, ou du moins de le lui faire comprendre.

Calisto continua, en faisant attention de ne pas y aller trop fort ou trop vite. Il passa sa main dans le dos de Cherrie, descendant jusqu'à sa chute de reins puis sur sa cuisse, la rapprochant encore un peu plus de lui. Il la vit grimacer légèrement, ce qui était tout à fait normal. Elle était encore étroite, les sensations étaient plus fortes. Calisto lui y prenait du plaisir, mais il avait peur que pour Cherrie ce soit l'inverse.

- Ca va ?

Il préférait s'en assurer, de crainte qu'elle soit de nouveau devenue trop timide ou qu'elle ait peur de lui dire non.

Elle lui adressa un petit sourire, lui signifiant que tout allait bien. Ouf ! Il l'embrassa à nouveau. Il sentait son corps se resserrer contre le sien, leur peau se toucher. C'était la première fois que ce simple contact aurait put suffire à son bonheur. Cherrie était définitivement différente des autres filles qu'il avait rencontré jusqu'à présent. Etait-ce donc ça ? Il s'était pourtant juré de ne pas s'attacher, surtout pas à quelqu'un vivant de ce côté-ci du dôme.
Il pouvait sentir ses mains dans son dos. Il continua donc ses mouvements de bassin, allant un peu plus vite à présent.

Tout semblait parfait. Soudain Calisto l'entendit pousser un petit gémissement, à peine audible. Il ne put s'empêcher de laisser échapper un petit sourire, assez amusé de la réaction qu'elle aborda juste après, encore gênée. Il accélera un tout petit peu plus ses mouvements, allant chercher par la même occasion les lèvres de Cherrie pour les embrasser. Lui même commençait à avoir un petit peu chaud, sentant des frissons lui parcourir le corps tandis que la déesse passait ses mains dessus. C'était presque comme de petites décharges électriques.
Lors d'un frisson plus important, Calisto mordilla légèrement la lèvre inférieur de Cherrie. Il aurait aimé que ce moment ne se termine jamais.

Calisto l'embrassa, leurs lèvres comme soudées entre elles. Cela faisait quelques minutes qu'ils étaient allongés l'un sur l'autre. Il sentait de plus en plus le plaisir monter en lui. Il passa ses mains sous les hanches de sa petite amie et en fit glisser une le long de son dos. Il la souleva ensuite, se redressant pour avoir le dos à la verticale, Cherrie à présent sur ses cuisses. Il continua ses mouvements de bassins, s'aidant de ses bras descendu sur les hanches de sa déesse, pour la faire également bouger. Il l'embrassa et descendit doucement vers sa poitrine. Il s'humidifia rapidement les lèvres en passant sa langue dessus avant de venir effleurer le sein de Cherrie.

Le plaisir qu'il ressentait avec Cherrie lui coupait par moment le souffle, rendant sa respiration plus haletante. Cela faisait près de 10 minutes qu'ils étaient occupés, et Calisto sentait de plus en plus le plaisir monter en lui. L'étroitesse de la première fois de Cherrie rajoutait aux sensations qu'il pouvait ressentir. Il avait pourtant essayé de se concentrer plus sur elle, cherchant à lui donner du plaisir plutôt qu'à en recevoir. Il s'était sans doute prit à son propre jeu, à présent il n'était pas sur de pouvoir se retenir encore très longtemps.

- Je... je crois que je vais jouir.

Calisto sentit Cherrie vibrer entre ses bras. L'un comme l'autre tentaient de ne pas faire trop de bruit. Ce n'était que le début de l'après-midi après tout, il y avait peut-être des élèves dans le couloir, juste derrière la porte.
Calisto la sentait se rétracter autour de son sexe, ce qui augmentait davantage son plaisir. La serrant un peu plus contre lui, dans un réflexe, il lui donna un dernier coup de bassin, restant cette fois-ci plus longtemps en elle. Il sentait les veines de son membre se gonfler une dernière fois avant qu'il ne lâche la pression. Il éjacula alors en Cherrie, ou plutôt dans le préservatif qu'il portait. Il relacha ensuite doucement son étreinte et posa son front contre le sien.

- C'était magique.

Calisto la laissa se retirer. Il se leva pour aller jeter le préservatif usagé puis retourna rejoindre Cherrie dans le lit. Il s'allongea à côté d'elle, passant son bras sous sa tête, une bonne excuse pour être une fois de plus contre elle. Il se tourna alors légèrement vers elle et lui sourit, d'un sourire serein. Elle lui dit ensuite l'aimer. Le demi-dieu passa délicatement sa main sur la joue de sa copine avant de l'embrasser doucement sur les lèvres.

- Moi aussi je t'aime Cherrie.

Elle lui prit alors la main. Un nouveau frisson le parcourait. Il lui semblait que son coeur battait beaucoup plus vite, instoppable. Etait-ce donc vraiment ça ? Il l'aimait ? Il ne savait pas trop, il n'avait jamais vraiment aimé avant. Mais il le lui avait dit, spontanément, sans hésiter. Ce devait donc être vrai. Il aurait put passer encore des heures à la contempler.

Calisto était bien contre elle, il sentait sa peau contre la sienne, son souffle sur son torse et les battements de son coeur contre sa poitrine.
Elle rompit le silence, abordant le sujet de son père. Cali esquissa un petit sourire amusé. Etait-ce vraiment le moment, la position et la tenue pour parler de son père ? Sans doute pas, du moins ça les ramenait à la réalité assez brutalement. Il baissa les yeux vers elle.

- Je veux bien le rencontrer, dis moi juste quand.

Ca avait l'air d'être important pour Cherrie, du moins il le pensait. Et puis il la voyait différemment des autres personnes, il savait que leur histoire ne s'arrêterait pas la et que le fait de rencontrer Poséidon ne l'empêchera pas de vivre son aventure avec Cherrie.

Elle ne semblait pas plus ravie que ça qu'il accepte de rencontrer Poséidon. Lui était confiant. Un dieu ne lui faisait pas plus peur qu'un être humain, du moins pas temps qu'il ne le menaçait pas. Certes Poséidon pouvait lui rendre la vie dur sur les océans, mais d'un côté c'était aussi un atout. Il espérait que le dieu des eaux en furie accepterait que sa fille fréquente un demi-dieu aussi lié à l'eau, du moins il pensait qu'il préférerait ça à un autre cas.
Puis Cherrie se mit sur lui, s'appuyant sur ses coudes pour plonger son regard dans le sien. Elle avait un petit air espiègle et il sentait qu'une petite taquinerie n'allait pas tarder... Elle finit par lui demander comment c'était de coucher avec la fille de Poséidon. Il laissa lui aussi échapper un petit rire. Il s'attendait à tout sauf à ça. Après l'avoir embrassé avec douceur il lui caressa la joue d'un geste tendre.

- Avoue le, tu m'as envouté.

-C'est plutôt toi l'envouteur. C'est toi qui utilises la magie non ? Tu me ferais un tour d'ailleurs ?

Calisto rigola. C'était vrai, après tout c'était lui qui pratiquait le vaudou, pas elle. Quand à lui montrer.... Il n'était pas sur que ce soit une bonne idée. Cette magie la était fort différente de la magie bénéfique des fées. Mais si elle y tenait il lui montrerait ce qu'il avait apprit à faire. Pour tout dire, comme sur l'île la magie était supprimée, il n'avait jamais vraiment put faire de la magie, pratiquant juste les gestes à faire. Sa mère s'était assurée qu'une fois la magie de retour il puisse déjà la pratiquer. Il devait encore essayé.

- Biensur.

Elle finit par s'écarter un peu de lui, essayant de faire descendre sa température.

-Tu es...chaud. Vraiment...tu fais feu de cheminée comme option !

Il rit, imaginant effectivement un cours de feu de cheminée.

- Non, je fais partie du club radiateur intégré.

Il rigola lorsqu'elle lui tira la langue. Il se rapprocha ensuite d'elle, se collant à elle pour l'embêter puisqu'il était terriblement chaud. Il l'embrassa avant de se reculer. Il s'allongea sur le dos et passa ses mains sous sa tête, les yeux vers le plafond.

- De toute façon c'est ta faute si j'ai autant chaud.

Il n'eut pas le temps de lui répondre qu'elle l'embrassait déjà dans le cou, lui caressant le ventre avant de le dévorer de bisou un peu partout. Il l'observa faire, un peu surpris par cette initiative au début mais il y prit vite gout. Cherrie était surprenante. Il était content de voir qu'elle était autant à l'aise avec lui. Il avait pourtant craint d'avoir été trop vite mais elle s'était plutôt vite adaptée.

- Tu ne vois vraiment pas, tu es sure ?

Il posa ses mains sur les cuisses de Cherrie avant de remonter doucement vers sa chute de reins.