Chambre 110~ Visite a Marsilla

Elle m’en avait parlé, elle m’avait soufflé les intenses aventures et les idéaux de Marsilla Lafey, surtout Tante Morgana, elles avaient toute deux passer quelques temps sur le bateau du grand Barbe noire. Qu’importe ce que le pirate a pu souhaiter ma tante n’a jamais était plus puissante que ma mère. Il est clair que depuis mon arrivée à Auradon Prep je n’attends que deux choses. La première connaitre et me servir avec brio de mes pouvoirs et la deuxième m’entretenir avec la reine de Camelot. Marsilla est la digne fille de Morganne et Merlin, elle est parfaite en tout point, belle, brillante, puissante, charismatique. C’est presque devenu mon mentor en ces lieux ou ma Mère est proscrite.

Par chance, aujourd’hui était un grand jour, j’avais de nouveau droit a un entretien a sa compagnie, cela tombé a pic, je sentais mes capacités magiques qui s’éveiller de jours en jours. Je n’étais pas comme Mal qui avait eu droit a un petit grimoire pour tout apprendre, non dans ma famille on faisait cela au talent ! Le chants est aussi une forme de magie pour les créatures de la mer et je sais que ma douce maman utilise aussi bien sa magie sans l’ombre d’un son qu’avec toute la puissance de sa voix velouté. Souriant sournoisement, je remettais une de mes mèches noires derrière mon oreilles, j’avais monté ma chevelure en chignon tressée, portant une robe vert bouteille je me dirigeais vers l’aile consacré aux professeurs sans l’ombre d’une inquiétude. Si Thaïs traine dans le coin elle ne me questionnera pas sur le chemin que je prends à une heure aussi tardive. Le soleil s’était couché depuis plus de trois heures déjà, le repas c’était déroulé sans encombre et j’avais du patiemment attendre l’heure adéquate pour partir de ma chambre.

Frappant doucement a la porte de la chambre 110, je me mordillais la lèvre inférieure avec appréhension, quand la douce voix de la reine de Camelot se fit entendre, j’eu un sourire plus que ravie qui ornait mon beau visage. Entrant avec toute la prestance qu’il m’était donné.

Quel joie de pouvoir vous parlez ! Dis je en guise de bonsoir. Je la vouvoyez par respect, même si le respect que je lui portait était sincère elle resté mon aîné, mon professeur, mon mentor et le respect est une marque que je peux me permettre de lui donner.

Lissant le pan de ma robe d’un air noble, je posais mes yeux clair sur la jeune femme qui était plus que troublante dans cette pièce qui était la sienne.