[+18] "Bonne action" [PV : Mars]

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Cela ne faisait pas longtemps que Shun était arrivé à Auradon Prep. Les cours avaient à peine débutés qu'il s'était déjà retrouvé impliqué dans une bagarre, un peu malgré lui tout de même. Mais allez savoir pourquoi on avait décidé de le sanctionner et parce qu'un retrait de points n'aurait aucun effet sur lui on avait décidé de lui faire faire une "bonne action", aller aider un prof pour résumer. L'autre personne impliqué s'en était sortit avec un simple avertissement. Non, bien sur, on devait traiter Shun différemment ! Il se retrouva donc à devoir aller voir la prof de latin, Miss Lafey, pour son travail d'intérêt général comme on le lui avait dit, ou un truc qui y ressemblait.

Shun poussa la porte de la salle de classe. Les cours étaient déjà terminés depuis un bout de temps, il se retrouva donc seul avec la prof. Il ne prit même pas la peine de frapper à la porte, il se contenta d'entrer et vint s'asseoir juste devant la prof, attendant qu'elle lui dise quoi faire. Il lui donna juste le mot qu'on lui avait confié précisant ce qu'il avait fait. Il détailla la prof. Elle était loin de ressembler à la directrice et tant mieux ! A Auradon il existait donc des femmes mûres un peu mieux foutues.

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Marsilia venait de terminer son cours de latin et après avoir débarrassé son bureau, elle soupira tendrement avant de regagner son arrière-salle, qui était pratiquement aussi grande que la salle de cours, elle avait réussi à avoir la salle de classe la plus grande alors qu'elle recevait le moins d'élèves, après tout à quoi cela servait d'être reine, si ou pouvait pas en profiter. Elle rentra dans son bureau et soupira en remarqua que son corbeau, lui avait ramené des tas de lettres venant soit de ses amants, soit des lettres venant de Camelot ou encore des lettres plus personnelles. Marsilia regarda les lettres avec dépit avant de s'assoir sur son siège. La jeune femme pris dans sa petite pochette noire, une boite en argent avec les emblèmes de Camelot et soupire en y sortant une cigarette, qu'elle mit sur son fume-cigarette en argent et l'alluma avec une flamme qui était apparue sur son pouce.

Elle tira une profonde pouffé de tabac, car elle évitait de fumer devant les élèves, bien qui lui arrive de se griller une petite clope pendant qu'il lui ponde un exercice. Elle recracha la fumée et posa son regard sur la grosse pile de courrier et releva la tête avant d'entendre quelqu'un frapper à la porte. Marsilia lui pria d'entrer et de s’asseoir. Le jeune homme lui donna un bout de papier où il était griffonné, qu'il devait faire tout ce que je voulais pendant une heure pour son travail d'intérêt général. La jeune femme détailla le jeune homme quelques secondes et se dit qu'il ferait bien son quart heure, surtout qu'elle commençait à avoir un petit creux, elle n'avait pas eu de relation sexuelle depuis trois heures.

- Bon très bien, commença Marsilia d'une voix calme, mais assez autoritaire. Vous allez prendre ce coupe-papier et ouvrir chacune des lettres présentes sur la pile, avant de les classer par type. Un tas pour les lettres a en-tête officiel et un autre pour les personnelles.

Elle lui donna une chaise et lui fit un peu de place avant de lui sourire avec malice, elle s'amusait à croiser puis décroiser ses jambes afin de faire remonter sa robe le long de ses cuisses. Le jeune homme pouvait parfaitement voir son stratège, grâce à la table en verre. Marsilia s'amusait sans vergogne à exister le jeune homme, car elle voulait que ce soit lui qui lui propose une partie de jambes en l'air sauvage dans son bureau et surtout sur le bureau.

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Shun arqua un sourcil lorsqu'elle lui indiqua ce qu'il devait faire. Elle le prenait pour son ouvre courrier ? Est-ce que cette fonction existait ? Bonne question. Mais elle lui tendit le coupe papier, une sorte de petite lame après tout. Donnez lui quelque chose qui peut lui servir d'arme et ça lui convient... Une lame qui plus est... Il repensa à l'atelier de son père. Des lames il en avait vu des tonnes, il était même devenu un expert dans l'art de les affuter. Il pouvait faire un poignard de pas mal d'objets à la base sans valeur. Bon, cette lame-ci, hormis couper du papier et peut-être déboutonner un chemisier elle ne pouvait pas faire grand chose dans son état actuel. Il la fit un peu tourner dans sa main, histoire de l'observer sous toutes les coutures puis pris un tas de lettres. Les classer par type ? Qu'est-ce qu'il en avait à faire. Il les déposerait toutes au même endroit et si elle insistait pour avoir deux tas différents il les placerait au hasard. Il n'était pas son larbin après tout. Il avait entendu dire qu'elle était reine, elle pouvait bien donner ce boulot à l'un de ses sous-fifres.

Son regard se posa finalement sur la table ou plutôt ce qu'on y voyait en dessous. Les jambes de Mars, se dénudant petit à petit. Cela le fit légèrement sourire, plus amusé qu'autre chose.

- Quelque chose vous démange ? Vous avez besoin d'aide ?

Il avait reporté ses yeux perçants sur ceux de Marsilia, attendant une réaction de sa part. Elle pouvait surement voir l'éclat de malice qu'il avait dans le regard à cet instant.

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Marsilia souriait en voyant que son petit manège avait été aperçut par le bel adolescent présent devant elle. En tortillant ses jambes, elle avait réussie à remonter sa jupe jusqu'à mi-cuisse et de là où il était-il pouvait surement voir le rouge de son string. La jeune femme rigola doucement lorsqu'elle entendit le jeune homme lui dire d'une voix amusée, si quelque chose la démanger et surtout si elle avait besoin d'aide. Marsilia lui sourit et lorsqu'elle vit dans le regard du jeune homme de la malice, elle lui murmura d'une voix très coquine :

- Oui, ma culotte me démange, je vais la retirer si cela ne vous gêne pas.

Elle n'avait pas attendu sa réponse, qu'elle s'était déjà levé et le regardait avec un petit air vicieux en faisant glisser ses mains sur sa poitrine ferme, plus sur ses hanches, jusqu'à relever un peu sa robe et faire glisser son string avec un geste rempli de sadisme et de coquinerie. Elle ne le quittait pas des yeux et Marsilia pouvait surement y voir de l'excitation, mais bien qu'elle n'en était pas sûr, elle avait vu ce regard dans celui de nombreux hommes qui a chaque fois, lui faisait l'amour sauvagement et surtout qui lui faisait prendre son pied. Elle s'approcha de lui et se pencha pour regarder les lettres déjà ouvertes en lui souriant :

- J'espère que vous êtes aussi doué pour ouvrir les lettres, que pour les autres choses de la vie.

Elle le regarda et se pencha vers lui, jusqu'à ce sa poitrine si voluptueuse et délicate lui arrive sous le nez. Marsilia n'attendait qu'un geste de sa part et elle se mettrait nue sur lui pour une partie de jambe en l'air des plus divines. Marsilia posa son string rouge, assez humide, juste à côté de Shun et vit demi-tour pour aller regarder la fenêtre avant d'allumer une cigarette, attendant qu'il prenne enfin les devants.

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Shun eut droit à un pseudo streap-tease. Il allait s'amuser ce soir. Il observa les courbes de la femme, de très belles courbes à son gout. Il ne doutait pas qu'elle fasse son effet chez la gente masculine, et peut-être même chez les jeunes filles. Shun ne restait pas insensible à son charme, c'était certain. Comment le pourrait-il ? Il était humain après tout, et du genre assez friand de ces choses la.

- J'espère que vous êtes aussi doué pour ouvrir les lettres, que pour les autres choses de la vie.

Il esquissa un petit sourire en coin et n'eut pas le temps de lui répondre qu'elle était déjà près de la fenêtre.

- Si vous parlez d'ouvrir les cuisses que diriez-vous de venir vérifier ?...

Il s'était levé de la chaise et s'était approché d'elle sans un bruit avant de la plaquer contre la vitre et lui murmura à l'oreille :

- A moins que vous ne préfériez que j'ouvre les vôtres ?

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Marsilia sursauta à peine lorsqu'elle se sentit coller contre la fenêtre et surtout lorsqu'il lui dit d'une voix perverse qu'il voulait ouvrir ses cuisses. La jeune femme soupira de plaisir et lui dit d'une voix aussi perverse :

- Vous parlez trop, pour peu d'acte, jeune homme.

Elle cambra ses hanches afin que ses fesses viennent à la rencontrer du sexe de son futur amant et elle les ondula d'un geste empli de sensualité extrême. Au bout de quelques secondes, la jeune femme soupira lorsqu'elle remarqua qu'il était un peu dégourdi et se retourna avec vitesse pour le regarder dans les yeux. Elle glissa sa main dans son dos et défit la fermeture éclair de sa robe afin de la faire glisser à ses pieds. Marsilia apparaissait nue pour la première fois devant son étudiant et lui sourit :

- Je commence un peu à m'ennuyer.

Elle leva la jambe droite pour la coller au corps de son amant et dans un sourire empli de mystère le dépassa pour s'asseoir sur son bureau et le regarder avec avidité :

- Je croyais que tu voulais me montrer comment tu arriveras à m'écarter les cuisses ?

Marsilia écarta les cuisses quelques secondes pour montrer à Shun son sexe avant de refermer ses jambes en le regardant avec avidité en attendant qu'il vient à elle, mais elle avait décidé d'en rajouter une couche et de le pousser à bout en lui disant droit dans les yeux :

- Est-ce que tu sais te servir de ta langue pour autre chose que pour fanfaronner ?

Elle le regardait toujours en souriant en coin, totalement nue sur son bureau, les jambes croisées.

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Il la laissa faire son petit jeu, se coller tout d'abord à lui avant de se tortiller, histoire de l'exciter un peu plus. Cela semblait avoir son effet. Elle s'était déshabiller et était partie s'asseoir sur le bureau en verre. Si elle s'amusait ainsi régulièrement avec ses élèves elle devait le nettoyer souvent ce fameux bureau.

- Est-ce que tu sais te servir de ta langue pour autre chose que pour fanfaronner ?

Il s'était rapproché d'elle, lui prit la tête par la nuque pour la rapprocher un peu de la sienne et l'embrassa avec sensualité avant de décrocher de ses lèvres pour venir lui murmurer à l'oreille.

- C'est vous le professeur, montrez-moi l'exemple à l'oral.

Il l'embrassa ensuite dans le cou tout en glissant sa main entre ses jambes. Il se recula finalement de quelques centimètres et détacha son pantalon qui retomba sur ses chevilles.

- A moins que vous ne maitrisiez que le latin ?

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Marsilia lui sourit lorsque sa main lui pris la tête par la nuque et l'embrassa avec douceur pendant que son amant lui rendait son baiser. Shun l'embrassait à la perfection et cela la rendit toutes choses, car l'humidité commençait fraichement à se faire sentir entre ses cuisses, elle poussa un soupire lorsqu'il glissa sa main entre ses cuisses, il pouvait à coup sûr sentir qu'elle était vraiment excité et voulait l'avoir à elle et en elle. Elle le regarda avec surprise, lorsqu'elle le vit reculer, mais fini par sourire, lorsque détacha son pantalon qui tomba à ses pieds. Marsilia le regarda et porta la main à son sexe avant de lui dire :

- Avec joie, je vais te montrer ce que la langue sait faire

Elle descendit du bureau et s'approcha de lui avant de le regarder. Marsi déposa un baiser sur ses lèvres, avant de lui retirer son t-shirt pour apercevoir son corps si délicieux. Elle glisse sa tête et lui mordit le cou avant de lui sourire et de continuer à déposer des baiser sur sa peau délicate. La jeune femme finie par descendre jusqu'à se mettre à genoux devant lui. Elle le regarda et dit d'une voix câline :

- Je sens que je vais bien me régaler

Sa main pris possession du sexe de son amant à travers son boxer avant que sa langue ne vient suivre le contour de l'objet de ses désirs et regarda Shun avec sensualité et un petit côté salope qu'elle aimait faire pour plaire un homme. Marsi le regarda avant de glisser ses dents sur l'élastique du boxer de son amant et de le descendre avec elles.

- Que veux-tu que je te fasse, mon bel amant ?

Elle lui souriait et jouer de la langue sur le sexe de Shun en le regardant avec le même regard que précédemment.

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Il commençait à faire de plus en plus chaud dans cette pièce. Marsilia, ne nous ennuyons plus avec les formalités prof-élève, semblait déjà suffisamment excitée. Il pourrait sans doute en faire ce qu'il voulait. Elle finit de le déshabiller, ils étaient à présent presque à égalité. Elle lui mordit le cou de façon plutôt sensuel et même s'il n'était pas particulièrement fan de ce genre de chose il faut avouer que ce n'était si désagréable que ça avec elle.

- Je sens que je vais bien me régaler

Il esquissa à son tour un petit sourire pervers et l'observa faire. Elle commença à lui caresser le sexe à travers le tissu de son boxer, y allant bientôt de sa langue. Mmm... C'était vraiment agréable. Shun commençait à se sentir de plus en plus excité. Marsilia devait le sentir durcir entre ses mains. Elle venait de libérer la "bête".

- Que veux-tu que je te fasse, mon bel amant ?

Shun se mordilla la lèvre lorsqu'elle commença à lui lécher le sexe. Les cheveux de la prof retombaient en cascade sur les courbes de son dos. Shun écarta les quelques mèches qui lui bouchaient la vue sur la poitrine parfaite de Marsilia.

- Parle moins et joue plus.

Il posa une main sur la tête de Marsilia et la rapprocha doucement, histoire qu'elle ne se contente pas de juste jouer de la langue.

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Marsilia sourit et fut quelques peu surprise par le geste délicat de Shun, lorsqu'il lui bougea les mèches qu'elle avait devant le visage. La jeune femme comprenait parfaitement que c'était dans le but d'avoir un meilleur accès à sa poitrine, mais étrangement, cela la troublait. Elle n'avait pas l'habitude d'autant d'égard pour sa personne, c'est pour cette raison, qu'elle décida de se relever juste quelques secondes pour embrasser les lèvres de Shun et lui murmurer un merci à l'oreille. La reine de Camelot n'attendit pas qu'il lui répond avant de se remettre à genoux devant lui pour mettre son sexe sur sa langue chaude. Il avait un gout étrange, mais pas un gout dégouttant, plutôt un gout d'écrin de cheval de la vallée de Tong Shao, accompagné d'une douceur de l'orient quoi rendait si folle Marsilia. Elle le regarde dans les yeux avec une telle coquinerie qui aurait faire jouir plus d'un homme. Pourtant, Marsilia était sûr de l'achever une fois qu'elle aurait commencé à le sucer, de très nombreux hommes étaient passés dans sa bouche et tous avaient dit, qu'elle était extrêmes douée.

Elle prit le sexe de Shun entre ses doigts délicats et commença une masturbation lente pendant qu'elle jouait avec son gland. Marsilia savait comme faire plaisir un homme et celui devant elle, était l'un des rares qui arrivaient à émoustiller assez la jeune femme pour qu'elle se sente libre et surtout qu'elle se transforme en tigresse. C'est pour cette raison qu'elle retira sa main de son sexe pour mettre les deux sur les fesses de son amant et enfoncer ses ongles dans sa peau pendant qu'elle se mettait à faire des vas et viens sur la hampe, si belle. Marsilia se mit donc à le sucer avec expertise et talent, avant de faire une chose qui surprenait tous les hommes : elle mit le sexe de son bel amant entièrement dans sa bouche en le regardant avec un air très coquin, en attendant une réaction de sa part, voir même la prochaine demande.